Certains suivaient des formations de mécanicien ou d'électricien. D'autres étaient en situation d'échec scolaire où au chômage. Des jihadistes engagés dans des études d'ingénieur, d'économie et gestion, tout comme des parcours sociaux confortables, ...
Datum: 21-03-2016 20:41 | Bron: Libération
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